Pour toi mon fils

Pour toi je laboure les vastes champs de Pangloss
Acceptant de pervertir ma fortune durement acquise
Faim tu n'auras point puisque mon soleil se lève
Tout prêt sera levé et créancier le prix en payera à la relève
Que les foudres de Mars s'abattent sur les mécréants
Ma main ne se lévera point à la place des puissances de l'Ailleurs
Ma puissance ne vient pas de vos champs de tailleurs
Je suis le fils de celui qui pleure sans cesse les tirailleurs
Ceux-là qui ont arrêté la puissance impériale du Grand joug
Ceux-là qui ont permis aux forêts boréales d'éviter le grand redoux
Qu'importe les velleités Du grand Parvenu ma main sera trés lourde
lorsqu'elle s'abattra pour défendre l'honneur du fils et du Grand nom
Aucun pardon ce jour sera donné aux chiens en laisse

Penson-y...